FORUM CONSO WEB 2.0 – LA BLACKLIST

Les avis en ligne font désormais partie intégrante du processus décisionnel des consommateurs. Ils fournissent des informations précieuses sur la qualité des produits et des services, aidant ainsi les acheteurs à faire des choix éclairés. Cependant toutes les plateformes d’avis ne sont pas égales, la réalité des pratiques que vous aller constater dans cette rubrique ShoppyDeals Avis est bien différente de cette image d’Epinal.

Certains se livrent à des pratiques contraires à l’éthique qui peuvent induire les consommateurs en erreur et nuire aux entreprises. Les plateformes d’avis qui ont fait l’objet d’un examen minutieux de ShoppyDeals.fr se nomment Signal Arnaques, Scamdoc, UFC Que Choisir, 60 millions de consommateurs et accessoirement Trustpilot.

SIGNAL ARNAQUES & SCAMDOC : LES CHAMPIONS INCONTESTÉS DU DÉNIGREMENT D’ENTREPRISES

Signal Arnaques et Scamdoc les deux sites de la société HERETIC SAS domiciliée à Troyes en France sont des acteurs relativement nouveau dans le domaine des avis en ligne, prétendant offrir des commentaires clients impartiaux et authentiques. Cependant, en y regardant de plus près, il devient évident que la plateforme regorge de pratiques douteuses qui soulèvent des signaux d’alarme tant pour les consommateurs que pour les entreprises.

Faux avis

L’une des tactiques les plus couramment employées par Signal Arnaques & Scamdoc est la prolifération de faux avis. Ces avis sont souvent générés par des robots ou des individus rémunérés qui n’ont jamais réellement utilisé le produit ou le service en question. En conséquence, les consommateurs sont induits à croire qu’une entreprise n’est pas fiable ou qu’un produit et service est de meilleure qualité ailleurs, ce qui conduit à la déception et à la méfiance.

Notes manipulées

En plus des faux avis, Signal Arnaques & Scamdoc son connus pour manipuler les évaluations afin de favoriser certaines entreprises par rapport à d’autres. En gonflant artificiellement les notes d’entreprises sélectionnées, la plateforme crée un faux sentiment de crédibilité qui peut tromper les consommateurs sans méfiance. Cette pratique nuit non seulement aux consommateurs, mais porte également atteinte à l’intégrité de l’ensemble du système d’examen.

L’impact sur les entreprises

Pour les entreprises, être inscrite sur Signal Arnaques et Scamdoc peut avoir de lourdes conséquences. Non seulement cela nuit à leur réputation et à leur crédibilité, mais cela peut également entraîner une perte de ventes et de revenus. Les consommateurs sont moins susceptibles de faire confiance à une entreprise dont la réputation est ternie, ce qui entraîne une baisse de l’acquisition et de la fidélisation des clients.

Ils se présentent comme des justiciers d’internet et de gentils hébergeurs de contenu mettant à disposition leur plateforme de signalement gratuitement pour les consommateurs.

La réalité : Une escroquerie publicitaire bien ficelé car sur chaque signalement d’arnaques sur Signal Arnaques ou évaluation d’indice de confiance d’un site internet sur Scamdoc, leur société mère HERETIC SAS engrange des revenus publicitaires faramineux sur le dos des consommateurs.

Il n’y a rien de mal a gagner de l’argent via sa société commerciale sauf que dans ce cas on est dans un mélange des genres pas très éthique et des pratiques commerciales trompeuses L121-3 du code de la consommation.

Pour faire simple c’est comme si Robin des bois piquait dans la caisse 🙂

D”ailleurs la justice française a déjà épinglée les pratiques de la société HERETIC SAS a trois reprises :

• Dénigrement commercial en 2019
• Non respect du code de la consommation en 2021
• Dénigrement contre une entreprise en Septembre 2022

Si vous êtes E commerçant et que vous souhaitez rejoindre la pétition des victimes de ce business déloyale cliquez-ici

UFC QUE CHOISIR : UN JOURNALISTE MILITANT AUX MÉTHODES CRAPULEUSES!

Étude de cas : Cyril BROSSET Un militant journaliste en action

Dans le cas de l’association UFC Que Choisir, nous avons constaté avec effroi les pratiques de Cyril BROSSET, un militant journaliste employé de cette association dont les méthodes n’ont rien à envier aux pires voyous. Nous avons était tellement choqué du niveau d’amateurisme et de bassesse de la part de cet employé de la prétendue première association de France que les membres de la Marketplace ont dû lui reserver un signalement et un droit de réponse public consultable ici.

Un aperçu non exhaustif des pratiques déloyales constatées de la part de ce prétendu “journaliste” qui semble avoir de sérieux problèmes de respect de l’éthique et de la déontologie de sa profession et dont la direction semble s’accommoder avec sa ligne éditoriale déviante malgré plusieurs signalements :

• Dénigrement systématique d’entreprises
• Fabrication de fausses plaintes consommateurs
• Publicité mensongère
• Cyber-harcèlement

Suite à des interrogations légitimes sur de fausses plaintes consommateurs présentes en ligne et signalées à la direction d’UFC Que Choisir en toute confidentialité et par écrit. Les membres de la marketplace ont commencé à constater des achats de liens sponsorisés chez Google France avec des mots clés souvent négatifs associés à la marketplace Shoppydeals.fr.

En apparence ces liens commerciaux sur Google France étaient présentés aux consommateurs pour vendre des comparatifs pour les radiateurs électriques faits par les équipe d’UFC Que Choisir en utilisant au passage le nom de domaine de Shoppydeals.fr sans autorisation. Il est affligeant de constater que pour un journaliste professionnel, la propriété intellectuelle n’est qu’un détail dont il ne s’encombre pas.

Pire la réalité c’est que le consommateur en cliquant sur ces liens publicitaires, rappelons le acheté avec l’argent des adhérents d’UFC Que Choisir est rediriger vers des liens d’articles de dénigrements écrit par le sulfureux journaliste Cyril BROSSET contre le site internet shoppydeals.fr et ensuite diffusés vers ses complices des antennes locales pour propager un maximum de contenu négatif sur internet.

Hélas la plume d’un journaliste militant et la notoriété des plateformes internet d’UFC Que Choisir censés défendre les consommateurs sont utilisées pour se venger après avoir était pris la main dans le sac à fabriquer de fausses plaintes consommateurs.

UFC Que Choisir : Une ligne éditoriale à la dérive!

Au regard de l’histoire de l’association UFC Que Choisir et de ses nombreux combats pour les consommateurs, ces partisans principalement les générations plus âgées peuvent parfaitement défendre leur association préférée en disant qu’il s’agit de cas isolés. Hélas les faits sont là pour prouver des pratiques crapuleuses notamment de ce pseudo journaliste ou d’autres militants et la direction parisienne d’UFC Que Choisir semble impuissante et complètement dépassée.

On ne peut vivre sur une gloire passée et des adhérents uniquement du 3ème et 4ème age, un militantisme héroïque qui ne reviendra peut être jamais et une trésorerie qui finira tôt ou tard par se tarir, en tout cas avec une ligne éditoriale à la dérive et des petits employés sans scrupules qui font la loi avec l’argent des adhérents et du contribuable, les nouvelles générations ne feront pas la queue pour adherer a un modèle de défense des consommateurs obsolète et malsain.

En bref une association respectable de consommateurs ne devrait pas s’abaisser à faire de la publicité mensongère pour vendre plus d’abonnements ou tolérer des pratiques crapuleuses en son sein comme la fabrication de fausses plaintes consommateurs et de faux avis trustpilot et si il y a une branche pourrie dans l’arbre il faut la couper immédiatement.

Il semble que beaucoup de petites entreprises de commerce électronique ont été victimes des pratiques contraires à l’éthique de ces employés militants d’UFC Que Choisir. Bien qu’elles offrent des produits de haute qualité et un excellent service client mais hélas cela ne pèse rien face à l’idéologie de militants fondamentalement Anti-entreprise.

Peu importe pour eux si les sociétés ont connues une baisse significative de leurs ventes après avoir été ciblées par de faux avis et des articles manipulés sur la plateforme UFC QUE CHOISIR.

L’impact négatif des pratiques d’évaluation trompeuses sur l’activité est dévastateur, mettant en évidence les conséquences concrètes du manque d’éthique et de professionnalisme de certains acteurs associatifs.

Cette association même étant privé oublie qu’elle vit non seulement sur le dos du contribuable à coup de subventions publiques mais en plus à travers les dons et les revenus d’adhésions sur le dos des consommateurs et aucun consommateur ni contribuable n’a signé pour se faire representer par des individus aux pratiques de voyous.

Cyril BROSSET le militant journaliste qui est à l’origine de cette publicité mensongère engage UFC Que Choisir son employeur par son manque évident de professionnalisme et de déontologie dans ces coups tordus et ses pratiques plus que douteuses.

Il semble avoir monté un partenariat officieux avec les gérants de la société HERETIC SAS, éditrice des sites Signal-Arnaques & Scamdoc car on le retrouve dans toutes les opérations de bad buzz mise en place par ces derniers contre les détracteurs de leur méthodes.

Loin de nous l’idée de rabaisser ce pauvre monsieur, même s’il a fait pire avec sa communauté de fascistes sur les forums contre une des responsables de Shoppydeals France (racisme décomplexé, misogynie, harcèlement même son enfant de trois ans a été menacé..)

Bref la justice fera son travail cependant il n’y a pas de sous métier juste des hommes et des femmes qui font mal leur métier cependant à la lecture de l’article ci dessous en cliquant sur l’image, vous comprendrez pourquoi les actions crapuleuses de ce prétendu journaliste épaulé de sa communauté de trolls à l’idéologie douteuses ont fait l’objet d’un signalement publique.

UFC Que Choisir a complètement perdu le contrôle de ces Forum conso WEB 2.0

FORUM 60 MILLIONS : LE DEMOLISSEUR DES ENTREPRISES AVEC L’ARGENT DES CONTRIBUABLES FRANÇAIS!

60 millions de consommateurs & UFC que Choisir se déchirent pour obtenir le monopole de la pression e-réputationnelle sur les entreprises… Le prétexte ? Informer et protéger le consommateur. On peut parler de prétexte car aujourd’hui, la ligne éditoriale des 2 médias est complètement à la dérive..

60 MDC, l’un de ces champions de la traque d’escrocs et d’arnaqueurs (les entreprises) n’est pas absolument irréprochable… Si la critique est fondée, chacune de nos entreprises est prête à faire amende honorable, se remettre en cause, faire évoluer ses produits…  Mais au moins que cela soit par des organismes donnant l’exemple de bonne conduite. Pourtant c’est loin d’être le cas : En effet, il y a de nombreuses années que la Cour de Comptes pointe les dérives de gestion de l’Institut National de la Consommation.

On peut même parler d’une situation ubuesque, puisque l’organisme dont l’essence même est de critiquer les produits et services des entreprises françaises, le fait – mal – avec NOS IMPOTS, donc notre argent, si durement gagné. Vous voulez des preuves ? En voici :

Extrait du rapport de la Cour des Comptes de 2016 : (Lire le rapport ici)

« Un équilibre financier précaire, une gestion insuffisamment rigoureuse La situation financière de l’INC se caractérise depuis plusieurs années par une baisse de ses recettes (- 13 %), passées de 14,8 M€ en 2010 à 12,9 M€ en 2015. Le chiffre d’affaires du magazine a reculé de 1,7 M€ entre 2010 et 2014 (respectivement 9,7 M€ et 8 M€) avant de remonter à 9,2 M€ en 2015. »

Pour mener à bien ses missions, l’INC qui édite 60 millions dispose d’une subvention versée par la DGCCRF dans le cadre de la convention annuelle d’objectif et de moyens, qui s’est élevée à 4,37 M€54 en 2020, dont 908 000 € destinés aux CTRC/SRA.

Tout cela pour publier de fausses plaintes consommateurs ignorer les demandes de retrait de contenu illicite de entreprises et avoir une réputation médiocre même auprès de ces propres utilisateurs!

Le décor est planté, on est bien en France … Avec un secteur privé matraqué par les impôts et les prélèvements obligatoires et dont une partie du « butin gouvernemental » est allouée à ce type de structure publique – il faut bien le rappeler – dont la finalité est un affaiblissement du tissus économique, pourtant déjà bien assez atteint par ailleurs… Ne pourrait-on appeler ça « se tirer une balle dans le pied » ?

Non bien sûr, c’est seulement une plaisanterie. Mauvaise, certes, mais une plaisanterie, portée par l’arrogance et les certitudes de ceux qui n’ont peut-être jamais travaillé et pensent ainsi que, comme au temps des serfs, les entrepreneurs sont corvéables à merci et remplaçables en cas « d’extinction »…

Il faut bien qu’il y en ait qui bossent si on leur laisse l’occasion de le faire pour que les autres puissent s’amuser avec l’argent des contribuables…

UN BUSINESS MODEL DÉPASSÉ ET UNE MISSION DE PROTECTION DES CONSOMMATEURS DÉVOYÉES

Les plateformes d’avis historiques comme Trustpilot et les associations comme UFC Que Choisir et 60 millions de consommateurs en lieu et place de servir de modèle d’éthique et de professionnalisme et de présenter un business model nouveaux et vertueux pour gérer les Avis en ligne qui servira leurs intérêts et ceux des consommateurs sans forcément nuire aux emplois et aux E commercants s’inspirent hélas de plus en plus du business model déviant et illégal de sites poubelles et multi-condamnés comme Signal Arnaques & Scamdoc.

Ce partenariat malsain conduit aujourd’hui et à l’avenir de plus en plus à une réponse ferme et déterminée des plateformes de E commerce à l’instar de l’action collective en cours contre Trustpilot et ses abus ainsi que les condamnations judiciaires à répétition de Signal Arnaques et Scamdoc.

Les plaintes et litiges consommateurs contre les E commerçants doivent être vérifiées avant d’être publiées, il n’est plus possible de laisser n’importe qui publier n’importe quoi sur les forums WEB 2.0 et dénigrer les entreprises avec une simple adresse email à l’instar de ce qui se pratique depuis trop longtemps sur les forums d’UFC Que Choisir et 60 millions de consommateurs et qui conduit à toutes les dérives évoquées plus haut.

D’ailleurs c’est le sens même de  l’article L 111-7-2 du code la consommation qui dispose que « toute personne physique ou morale dont l’activité consiste, à titre principal ou accessoire, à collecter, à modérer ou à diffuser des avis en ligne provenant de consommateurs est tenue de délivrer aux utilisateurs une information loyale, claire et transparente sur les modalités de publication et de traitement des avis mis en ligne ».

Pour commencer une mission simple pour la direction de UFC Que Choisir et 60 millions de consommateurs renforcer les contrôles de leurs modérateurs journalistes et si nécessaire les sanctionner car il s’agit d’emplois détruis, de réputation ternies, de revenus de famille en danger car tout le monde n’a pas la chance d’être subventionné grassement par le contribuable français.

Pour finir il est urgent pour ses plateformes de former leur personnels afin d’arrêter avec ce militantisme malsain de certains de leurs membres qui date d’une autre époque et qui consiste à voir en toute les entreprises des escrocs et des arnaques en puissance, la majorité des E commerçants sont de petites structures à taille humaine et pas des “salauds de patrons” avec des rémunérations indécentes.

Dans la majorité des cas cela permettrez d’économiser des frais de procédures judiciaires, de régler les litiges consommateurs à l’amiable et enfin remplir leur mission d’utilité publique sans forcement porter atteinte au travail des entreprises qui eux n’ont pas la chance de recevoir un salaire fixe à chaque fin de mois grâce au contribuable français.

Bon courage à tout les E commerçants n’oubliez jamais :

Vendre en ligne n’est pas un crime, une entreprise parfaite n’existe pas, c’est une entité qui se remet continuellement en question pour s’améliorer ¹performer et offrir la meilleure version d’elle même, ne laissez jamais des parasites opportunistes détruire vos rêves!Shoppydeals Marketplace

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